Gigantesque mobilisation ce jeudi 8 avril 2021 autour de Arnaud Degla pour l’élection du duo Talon-Talata. A travers une caravane minutieusement organisée, les couches socioprofessionnelles de l’arrondissement ont envoyé des messages d’assurance au duo de la mouvance présidentielle.
Tout est parti de la devanture du collège d’enseignement général La Verdure de Ouèdo. Militants engagés et convaincus, cadres à divers niveaux, commerçants, opérateurs économiques, étudiants et autres sympathisants du duo Talon-Talata ont pris d’assaut la route nouvellement construite pour exprimer leur reconnaissance à Patrice Talon pour les réalisations dont l’arrondissement a bénéficié au cours de son premier quinquennat. Très enthousiasmées par les prouesses du premier mandat, les populations en voudraient bien deux. Voilà le leitmotiv de cette mobilisation folle derrière Arnaud Degla pour conquérir Ouèdo et régions pour le compte du duo gagnant.

Chants, slogans et démonstrations diverses ont marqué cette caravane qui sonne la grande mobilisation pour le dimanche 11 avril prochain. On pouvait entendre, tout le long du périple, «voter Talon, pour achever le Job». Pour ne pas passer inaperçus, les caravaniers ont marqué plusieurs arrêts aux endroits stratégiques pour évangéliser les indécis à rejoindre la vague bleue le plus tôt possible afin d’actionner le développement en cours depuis 2016.
Pour Arnaud Degla, Patrice Talon a fait ce que ses prédécesseurs n’ont pas eu le courage de faire. La construction des routes, l’aménagement des voiries, l’octroi de microcrédit aux femmes, l’électrification, la disponibilité de l’eau potable, l’amélioration des soins de santé, le projet Arch, la révolution numérique et bien d’autres sont les actions phares de Patrice Talon qui forcent l’admiration. C’est pourquoi, Arnaud Dègla, citoyen béninois, a exhorté ses concitoyens à donner carte blanche au réformateur pour que la dynamique continue.
Le message est reçu par les jeunes, femmes et hommes qui ont rassuré le candidat Patrice Talon de leur disponibilité à lui accorder ce second mandat dès le premier tour.
La rédaction