Dans la plupart des villes du Bénin, les sachets plastiques non-biodégradables jonchent toujours les rues et continuent de dicter leur loi. Vu cet état de chose, la police républicaine veut passer à la phase répressive.

Malgré les sensibilisations répétées à l’intention des différentes couches de la société, les sachets plastiques font toujours partie des habitudes, et sont à la base des inondations, des cancers, des problèmes de reproduction et le paludisme entre autres. C’est pour cela que, conscient des dangers causés par les sachets plastiques, la police républicaine choisit de non seulement sensibiliser la population mais de passer aussi à la phase répressive.
La police compte définir une meilleure stratégie pour arriver à bout du phénomène pour enfin faire appliquer la loi. Elle envisage également mettre en œuvre les dispositions pratiques avant les descentes pour les saisines et destructions des grands stocks.
A.HOUINDO