Élu Président de la Banque Africaine de Développement ( BAD ) le 28 mai 2015, M. Akinwumi Adesina a pris officiellement ses fonctions le 1er septembre 2015. Il se présente à nouveau pour un deuxième mandat à la tête de cette institution financière.
Depuis son accession à la présidence de la BAD, M. Akinwumi a œuvré pour la mise en place d’une stratégie de financement et de développement de la banque axée sur un accès facile à l’électricité et au développement durable.
Confiant du travail abattu le président de la Banque Africaine de Développement (BAD), le Dr. Akinwumi Adesina, se présente pour un deuxième mandat.Il est soutenu par la Chambre africaine de l’énergie qui approuve sa candidature et le qualifie de champion, sur la base d’un premier mandat exemplaire.
Les prouesses du docteur Akinwumi et surtout ses défis relevés dans le secteur énergétique lui ont permis de bénéficier d’un soutien indéfectible de la chambre africaine de l’énergie. En témoignent les propos de M. NJ Ayuk, président de la Chambre africaine de l’énergie qui déclare : « La réussite d’Akinwumi Adesina est double. Il a positionné et solidement établi la Banque africaine de développement en tant qu’acteur principal du financement du développement en Afrique, en mettant l’accent sur l’énergie et une approche basée sur la réforme et dirigée par le secteur privé. Il a associé cela à un engagement à mettre les citoyens africains au premier plan de son mandat ».

« Pendant de nombreuses années, la BAD n’a pas eu beaucoup de sens pour les Africains ordinaires, le secteur de l’énergie et les entreprises africaines. Dr. Adesina a changé cela et au cours des dernières années, sa capacité à transcender et à embrasser la diversité de l’Afrique a été un énorme avantage pour le continent. Les coalitions qu’il a construites avec des Américains, des Européens et des Asiatiques ont toutes profité à notre continent et amélioré la qualité de vie de manière considérable pour des millions de personnes grâce à des investissements dans l’accès à l’électricité et à son plaidoyer pour la durabilité énergétique », a ajouté M. Ayuk.
H. HOUETCHI